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      QUE VIVA MEXICO !
    Que viva Mexico !
    QUE VIVA MEXICO ! - film de Eisenstein

    QUE VIVA MEXICO !

    Réalisation :  EISENSTEIN
    Scénario : 
    Sergei Eisenstein, G. Alexandrov
    Photos : 

    Musique : 
    Emine KHATCHATOURIAN, Serge SKAIPKA, Vladimir TSEITLINE
    Production : 
    Upton Sinclair

    Comédiens :

    1932 - U.R.S.S. - VO - 83 min
    Synopsis : 

    A la fois documentaire et fiction, l'histoire et les traditions du Mexique transcendées par la caméra d'Eisenstein. Un film sauvé de l'oubli. Des séquences mémorables…



    EDITION DVD
    Audio : Russe
    Sous titres : 
    Bonus : Biographie, Notes d'Eisenstein, Apparat critique, Fiches historiques.
    Format : 1:33 - 4/3
    Infos supplémentaires : ALL ZONE - PAL -

    Date de sortie : 02/01/2003


     

     

    L’intérêt de toute projection de rushes est surtout poser de façon plus pressante la question qui est au cœur même de la création cinématographique : que cherche au juste le metteur en scène, après quelle impossible perfection court-il, quelle idée se fait-il de cet absolu qu’il essaie passionnément de rejoindre ?

    Question plus dramatique encore, lorsqu’il s’agit d’un Eisenstein, de tous les grands cinéastes celui dont le projet fut toujours le plus mystérieux, fût-ce à ses familiers ou collaborateurs. Huit mille mètres de rushes, montrés à l’état brut, ne répondent pas à cette question, mais confirment jusqu’à l’évidence un point : qu’Eisenstein est un cinéaste essentiellement synthétique, qui, jusque dans sa furie de morcellement, recherche d’abord une totalité, un bloc net et qui puisse exister indépendamment de toute progression narrative ; chaque plan se ferme sur lui-même comme un poing (…).

    Eisenstein mort, QUE VIVA MEXICO ! est rigoureusement inmontable, et la seule solution, celle adoptée par M. Jay Leyda : projeter les rushes, et laisser deviner à chaque spectateur quelle, selon lui, aurait pu être l’idée mère qui les devait réduire : question sans réponse, mais qui nous projette immédiatement à la naissance de la création eisensteinienne, dont l’œuvre achevée, à son tour fermée sur soi, nous détourne.

    CAHIERS DU CINEMA N°79, JANVIER 1958




     

          
     
     
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